Le panorama des matériels les plus récents, souvent innovants, qui ont marqué l’année écoulée. Tel est le menu - c’est aussi en soi une innovation - avancé par la rédaction à l’occasion de la pause estivale.
Objectif : permettre aux professionnels de disposer de références actualisées de constructeurs répertoriés par grands secteurs d’activité, du stockage au conditionnement, en passant par le transfert et le traitement du vrac. Le choix s’est, en effet, tout naturellement porté sur une présentation « transversale », dites multi-filières, sans distinction du domaine d’application. Peu importe qu’il s’agisse de transférer et traiter des grains de blé ou de maïs, du sable ou des granulats, ou autres poudres synthétiques, minérales ou biologiques. L’important est dans l’équipement. C’est là que se niche la spécificité - et la force – du « Journal du vrac » : cette transversalité est une formidable source de transfert. Si dans le monde du vrac les savoir-faire, les cahiers des charges et les objectifs peuvent être d’une extrême diversité, son coeur d’activité reste la manipulation et le traitement de matières en poudres, granulés et pulvérulents.
D’où une ligne directrice, en forme de ligne de production, représentant l’identité du vrac, son unité. C’est cette ligne rédactionnelle que suit et cultive le « Journal du Vrac » dont l’ossature est l’équipement technique des filières. Les déclinaisons et optimisations selon les produits à traiter sont fondamentales, mais, comme pour toute grande invention, elles sont le fruit d’une curiosité : puiser ailleurs pour créer de nouvelles techniques et procédés. Parfois, cela se fait par hasard, pour le « Journal du vrac » c’est une vocation : stimuler les rencontres technologiques pour transférer connaissances et expériences. Une ligne à suivre pour aller à la pêche… aux idées.